Bijoux dépareillés, montre en or, or dentaire, tout peut être vendu dans les sociétés spécialisées dans le rachat d’or.La fièvre de l’or se serait-elle emparée de notre île ? Pour Eric Virulo, responsable d’une entreprise locale, pas du tout. La profession est tout simplement sortie de l’ombre. « En quatre années, nous sommes passés de trois à six sociétés de ce type, ce n’est pas une expansion énorme » indique-t-il. Toutefois, il admet que la récession leur a été bénéfique, en leur permettant de toucher une nouvelle cible : les particuliers.